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Verite biblique concernant la Fete de Noel

Que disent les Écritures concernant la Fête de Noël

Verite biblique concernant la Fete de Noel

Tel que nous le démontre l'histoire, la célébration de Noël a été introduite dans notre monde par l'Église catholique romaine et elle n'a pas d'autre autorité que celle de cette institution. 



La célébration de Noël dans les débuts de l'Église

De nombreux textes et documents attestent que La célébration de Noël n'a jamais figuré parmi les premières fêtes de l'Église et n'était pas non plus adoptée à l'époque des apôtres ou de l'église primitive du Nouveau Testament. 


Dans l'Encyclopédie Britannica, édition 1946, il est écrit: 

"Noël (c'est-à-dire la messe du Christ)... Noël ne figurait pas parmi les premières fêtes de l'église...Elle n'a pas été instaurée par le Christ ou les apôtres, ni par l'autorité de la Bible. Elle fut ultérieurement empruntée au paganisme."


Selon l'Encyclopédie catholique, édition 1911, publiée par l'église catholique Romaine, sous le titre "Noël" il est écrit: 

"Noël ne figure pas parmi les premières fêtes de l'Église... les premières traces de cette fête proviennent d'Égypte... Les coutumes païennes centrées sur les calendes de janvier ont gravité autour de Noël."

Et sous le titre "Jour Natal", Origène un théologien du 3e siècle, considéré par certains comme le "père de la critique biblique", a écrit:

"Dans les Écritures, on ne trouve aucun récit d'une fête ou d'un grand banquet organisé le jour d'un anniversaire. Seuls les pécheurs [comme Pharaon et Hérode] ont organisé de grandes réjouissances pour célébrer le jour de leur naissance dans ce monde." 


Tous les experts bibliques et les historiens laïques s'accordent à dire que la célébration de la naissance du Christ est apparue dans l'église bien des années après la vie, la mort et la résurrection de Jésus. Ce n'est qu'au 5e siècle que l'église catholique romaine ordonna la célébration de ce jour. En outre, l'église imposa que cette célébration se déroule le même jour que la fête païenne consacrée au culte du dieu soleil. 


La publication de l'Encyclopedia Americana, édition 1944, déclare: 

"Noël... Selon de nombreuses autorités, cette fête n'a pas été célébrée dans les premiers siècles de l'église chrétienne, car l'usage chrétien en général était de célébrer la mort de personnes illustres plutôt que leur naissance...(La "Communion", instituée par l'autorité biblique du Nouveau Testament, est un mémorial de la mort du Christ)... Au 4e siècle, une fête fut établie en mémoire de cet événement [la naissance du Christ] Au 5e siècle, l'Église occidentale ordonna qu'elle soit dorénavant célébrée le jour de l'ancienne fête romaine de la naissance de Sol*, car il n'existait aucune connaissance certaine du jour de la naissance du Christ."

*Sol ou deus Sol Invictus  est  le dieu soleil romain. Sous l'empire romain, on célébrait le solstice d'hiver et l'anniversaire du dieu du soleil Sol Invictus le 25 Décembre: ce jour était appelé "dies natalis Invicti".



Origines de La célébration de Noël

La corrélation entre Noël et diverses pratiques païennes est largement documentée. Pas seulement la date, mais aussi ses symboles, qui sont étroitement liés aux pratiques religieuses adoptées par le monde païen.


Bien avant l'apparition du christianisme, les peuples de l'hémisphère nord utilisaient des conifères, au feuillage vert persistant, pour orner leurs maisons, notamment les portes, afin de célébrer le Solstice d'hiver qui a lieu le 21 ou le 22 décembre, le jour étant le plus court et la nuit la plus longue. Traditionnellement, cette période de l'année est considérée comme le retour en force du dieu soleil qui avait été affaibli pendant l'hiver - et les conifères au feuillage vert persistant,  étaient destinées à commémorer le retour en force du dieu soleil et l'arrivée de l'été.


L'Egypte - Fête d'Horus

Les toutes premières traces de cette fête qui ont conduit à la célébration de Noël proviennent d'Égypte et des ses traditions païennes basées sur les dates des calendriers. 


Pratiquement toutes les pratiques païennes ont vu le jour dans la ville de Babylone, à l'époque de Nimrod, fils de Cush, fils de Cham, fils de Noé.  

Le nom "Nimrod" est traduit du mot hébreu "marad" et signifie littéralement "il s'est rebellé". Il fut le fondateur de Babylone. 

Selon la tradition, Nimrod épousa sa propre mère, Sémiramis. Elle tomba enceinte après s'être engagée dans une liaison adultère alors qu'elle était mariée à Nimrod. À peu près à la même époque, Nimrod fut violemment et prématurément tué par Esaü, fils d'Isaac. Dans un effort pour conserver le pouvoir et cacher ses méfaits, Sémiramis fit une déclaration des plus audacieuses. Elle déclara publiquement qu’à la mort de Nimrod, il s'était réincarné sous la forme d'un arbre à feuilles persistantes qui avait soi-disant émergé d'une tige morte, puis ressuscita en tant que dieu Soleil et il utilisa ses rayons solaires pour l'inséminer miraculeusement. Elle donna naissance à un fils qui selon elle était Nimrod réincarné. Son Fils s'appelait Thammuz et il fut vénéré comme un dieu.

  • Ézékiel 8:14 "Et il me conduisit à l'entrée de la porte de la maison de l'Éternel, du côté du septentrion. Et voici, il y avait là des femmes assises, qui pleuraient Thammuz."


Du fait de sa politique et de l'utilisation du nom de son fils, Sémiramis devint la reine de Babylone, le foyer des mystères chaldéens. Elle était également considérée comme la "reine du ciel" et "la mère du fils divin". 

  • Jérémie 44:18 "Et depuis que nous avons cessé d'offrir de l'encens à la reine du ciel et de lui faire des libations, nous avons manqué de tout, et nous avons été consumés par l'épée et par la famine. D'ailleurs, lorsque nous offrons de l'encens à la reine du ciel et que nous lui faisons des libations, est-ce sans la volonté de nos maris que nous lui préparons des gâteaux pour l'honorer et que nous lui faisons des libations?"


Les croyances, pratiques et traditions idolâtres se propagèrent en Égypte et ont perduré pendant des générations. Nimrod fut considéré comme le fils de Baal, le dieu du soleil. Sa mère et lui devinrent les principales entités et furent vénérés comme des dieux appelés: Isis et Osiris. Le fils d'Osiris, Horus naquit le 25 décembre. 


La Rome - Saturnalia

Quant aux Romains, ils célébraient les Bacchanales ainsi que les Saturnales à la même époque que la célébration actuelle de Noël. 


Les Romains de l'Antiquité marquaient le solstice d'hiver par une fête appelée Saturnalia, organisée en l'honneur de Saturne, le dieu de l'agriculture. Durant cette période, ils décoraient leurs maisons et leurs temples de branches conifères à feuilles persistantes. 

Il convient de mentionner ici que les Saturnales étaient la fête la plus importante de la vie romaine. Selon de nombreux témoins, les excès et la débauche pratiqués lors de cette fête étaient légendaires. Durant cette semaine de fête anarchique, qui se déroulait du 17 au 25 décembre, personne ne pouvait être condamné pour fait ce qui est généralement interdit par la loi, c'est à dire ils pouvaient infliger des blessures, commettre des meurtres, des viols ou des vols en toute impunité. 

Bien que beaucoup de gens se défoulaient en profitant de l'anarchie pendant les Saturnales,  de nombreux Romains pratiquaient les réjouissances et l'échange de cadeaux.

Walsh a écrit: 

"Les Saturnales, qui étaient tenues en l'honneur de Saturne, le dieu du temps, commençaient le 17 décembre et se poursuivaient pendant sept jours. Elles se terminaient le plus souvent par des émeutes et des désordres. De ce fait, les mots Bacchanalia et Saturnalia acquirent une mauvaise réputation dans les époques ultérieures." 

|p. 65| 


La Grèce - Bacchanalia

Par la suite, la célébration de Noël fut intimement liée auc Bacchanales. 

Les Bacchanales étaient les fêtes romaines de Bacchus, le dieu gréco-romain du vin, de la liberté, de l'ivresse et de l'extase. Elles étaient basées sur la vénération par les Grecs de leur dieu Dionysos (également appelé Bacchus), et sont probablement arrivées à Rome vers 200 avant J.-C. via les colonies grecques du sud de l'Italie et l'Étrurie, voisine du nord de Rome. 

Selon les littératures grecques et romaines, la version la plus ancienne était réservée aux femmes et se tenait trois jours par an, à la lumière du jour. Tandis qu'en Étrurie, au nord de Rome, un Grec de basse famille, adepte des sacrifices et de la divination, avait établi une version nocturne, en y ajoutant du vin et des festins, et ainsi acquis un public enthousiaste de femmes et d'hommes de toutes les classes sociales, et de tout âges - en commençant par ses propres fils. Les nouvelles célébrations et initiations étaient caractérisées par une violence alimentée par le vin et une promiscuité sexuelle violente, où les cris des victimes étaient étouffés par le vacarme des tambours et des cymbales.  Ceux qui s'opposaient au culte ou le trahissaient étaient exécutés. Sous le couvert de la religion, les prêtres et les acolytes enfreignaient les lois civiles, morales et religieuses en toute impunité.


William Shepard Walsh, un auteur reconnu, a écrit: 

"...la fête de Noël...est une évolution progressive depuis des temps qui ont longtemps précédé la période chrétienne.... Elle s'est superposée à des fêtes païennes, et nombre de ses célébrations ne sont que des adaptations de cérémonies païennes à des cérémonies chrétiennes." 

|The Story of Santa Klaus p. 58|


Walsh poursuit en expliquant que: 

"les Grecs rendaient hommage à Bacchus par une fête portant son nom (Bacchanalia). C'est vers le 21 décembre que les Grecs de l'Antiquité célébraient ce que nous appelons les Bacchanales ou festivités en l'honneur de Bacchus, le dieu du vin. Lors de ces festivités, le peuple se livrait à des chants, des danses et autres réjouissances qui dépassaient souvent les limites de la décence et de la morale." 

|p. 65|



Pourquoi la date du 25 Décembre?

Le Dr. Werner Keller, auteur de nombreux ouvrages documentaires, a écrit: 

"Le 25 décembre fut cité pour la première fois dans des documents comme le jour de Noël en l'an 324. Sous le règne de l'empereur romain Justinien [dans les années 500], il devient officiellement un jour férié. Une ancienne fête romaine a joué un rôle majeur dans le choix de ce jour particulier. Le 25 décembre dans la Rome antique était le "Dies Natali Invictus", "l'anniversaire des invaincus", et correspondait au solstice d'hiver et en même temps, à Rome, c'était le dernier jour de la fête des Saturnales, qui avait longtemps dérapé en une semaine de carnaval débridé..."

|La Bible comme Histoire p. 331|


En effet, Au cours de la dernière partie du 3e siècle, le Deus Sol Invictus (dieu soleil romain) devint la divinité officielle de l'Empire romain. À cette époque, un grand temple fut construit pour honorer le soleil et l'anniversaire du soleil fut officiellement fixé au 25 décembre car c'était la date acceptée du solstice d'hiver. 


Au début des années 200, l’historien Julius Africanus écrit un livre intitulé “Narrative Of Events Happening In Persia On The Birth Of Christ”, dans lequel il plaça la conception de Jésus au 25 Mars. Entre l'an 202 et 211, Hippolyte de Rome se basant sur l'hypothèse selon laquelle la conception de YESHUA aurait eu lieu à l'équinoxe du printemps, placé l'équinoxe le 25 mars et ajouta 9 mois  à cette date pour obtenir le 25 décembre, établissant ainsi la date des fêtes, et déclara: 

“Le premier avènement de notre Seigneur dans la chair, lorsqu’il est né à Bethléem, a eu lieu le 25 décembre, un mercredi.”


Moins de 100 ans plus tard, l'empereur Constantin accéda au pouvoir à Rome. Sous son règne, la pratique du christianisme était une violation de la loi romaine. Les chrétiens étaient détestés par l'État et faisaient l'objet d'une grande persécution qui incluait la torture et même le bûcher.

Malgré ces grandes persécutions, les chrétiens restèrent fidèles à leur foi. Cet engagement impressionna fortement Constantin, et en 313 après J.-C, il publia l'"Édit de tolérance" faisant du christianisme la religion officielle de l'Empire romain. De ce fait, la persécution des chrétiens par l'État cessa. Et vers la fin du 3e siècle, sous le règne de l’empereur romain Constantin, le Pape Jules 1 déclara officiellement que: 

“Le 25 Décembre, le Christ est né à Bethléem, en Judée.”


Cependant, le christianisme étant devenu la religion d'État, l'Église devint par la suite une institution très politique et ses enseignements furent dénaturés et sérieusement compromis. Jesse Hurlbut décrit cette période dans son livre The Story of the Christian Church.



Il est quasi impossible que Jésus soit né le 25 Décembre

Dans le livre de Luc, il est écrit qu'à la naissance de l'enfant Jésus, il y avait dans le pays des bergers qui paissaient dans les champs et veillaient de nuit sur leurs troupeaux.

  • Luc 2:7-8 "Et elle enfanta son fils premier-né. Elle l'emmaillota, et le coucha dans une crèche, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie. Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux."

Un tel événement n'aurait jamais pu se produire en Judée au mois de décembre. En effet, les bergers ramenaient toujours leurs troupeaux des montagnes et des champs et les rassemblaient dans des enclos au plus tard le 15 octobre, afin de les protéger de la saison froide et pluvieuse qui suivait cette date. 

Remarquez que  dans Esdras 10:9, 13, la Bible atteste que l'hiver était une saison des pluies qui ne permettait pas aux bergers de rester en plein champ durant la nuit.

  • Esdras 10:9 "Tous les hommes de Juda et de Benjamin se rassemblèrent à Jérusalem dans les trois jours. C'était le vingtième jour du neuvième mois. Tout le peuple se tenait sur la place de la maison de Dieu, tremblant à cause de la circonstance et par suite de la pluie."

  • Esdras 10:13 "Mais le peuple est nombreux, le temps est à la pluie, et il n'est pas possible de rester dehors; d'ailleurs, ce n'est pas l'oeuvre d'un jour ou deux, car il y en a beaucoup parmi nous qui ont péché dans cette affaire"


 Adam Clarke a écrit: 

"C'était l'ancienne coutume des Juifs de cette époque d'envoyer leurs moutons dans les champs et les déserts vers la Pâque (au début du printemps), et de les ramener au bercail au début de la première pluie"

|Vol. 5, page 370, édition de New York|.



Le Culte Païen aux arbres

Le culte aux arbres est présent tout au long de l'histoire. De nombreux récits révèlent que le culte aux arbres et à la nature était une pratique courante chez les païens des temps anciens et a continué à se perpétuer jusqu'à nos jours. Les adeptes de ce culte croient que les arbres ont des sentiments et sont capables de raisonner.  Ils attachent souvent les cimes des arbres ensemble dans les bosquets et en font un sanctuaire pour la nature. À certaines occasions, ils taillent dans l'arbre une image telle qu'un symbole phallique et se prosternent devant elle.


Il est important de comprendre que les cultes de l'arbre et de la nature sont des pratiques que ELOHIM  caractérise d'image taillée. Il a révélé par Jérémie, que ses enfants doivent éviter toutes pratiques qui ressemblent à celles adoptées par le monde païen.

Le verset suivant parle spécifiquement de la pratique de couper un arbre, lui donner sa forme, le décorer d’accessoires en or et en argent, et lui mettre un support pour qu’il tienne debout. 

  • Jérémie 10:1-4 “Ainsi parle l'Éternel: N'imitez pas la voie des nations, Et ne craignez pas les signes du ciel, Parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l'ouvrier le travaille avec la hache; On l'embellit avec de l'argent et de l'or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu'il ne branle pas.”

ELOHIM qualifie cela de vanité et d'idolâtrie. Ainsi, l'arbre de Noël est une idole et la célébration de Noël est une fête que l'Éternel hait.

  • Esaïe 1:12-15 “Quand vous venez vous présenter devant moi, Qui vous demande de souiller mes parvis? Cessez d'apporter de vaines offrandes: J'ai en horreur l'encens, Les nouvelles lunes, les sabbats et les assemblées; Je ne puis voir le crime s'associer aux solennités. Mon âme hait vos nouvelles lunes et vos fêtes; Elles me sont à charge; Je suis las de les supporter. Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux; Quand vous multipliez les prières, je n'écoute pas...”


Si pour vous Noël est une festivité qui vous permet de vous connecter avec vos familles et vos proches, nous ne pouvons que vous souhaiter de prendre grand soin de vous durant les fêtes de fin d'années. Mais nous tenions à vous présenter la vérité biblique concernant ces pratiques.


Que Dieu vous garde et vous protège.


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